Sortie – Qui suis-je ?

Marko KAVERNI

né à Dijon (Côte-d’Or) en 1982

autodidacte polydactyle

vit et travaille à Autun (France)

photographies depuis 2012

céramiques depuis 2020

images promptées depuis 2022

sculptures, installations, inventions

expositions:

___1___ ‘Popolo Choko Alabar‘ du 2 au 19 janvier 2024, Espace des Arts, magasin Biocoop, Autun

___2___ ‘Calendrier Perpétuel‘ du 4 au 13 juillet 2024, Galerie du Passage, Autun

vous êtes intéressé par mon travail et mes collections ? contactez-moi:

marko@kaverni.com

• Instagram

La photographie & moi

Mon lycée se trouvait à 20 km du lieu où le génial Nicéphore Niepce a inventé et pris la première photographie au monde, à Saint-Loup-de-Varennes, en 1826.

Pourtant, ce n’est qu’à l’âge de 30 ans, en 2012, que j’ai acheté un appareil photo reflex et décidé d’intégrer la photographie dans mon quotidien.

Je suis particulièrement attaché à la couleur et la composition, aux paysages urbains et naturels, ainsi qu’aux êtres vivants que je croise. Je photographie presque exclusivement en format portrait vertical. J’arrondis les coins de mes photographies en ajoutant un vignettage blanc, afin de les distinguer clairement des images que je produis ou transforme à l’aide de l’IA.

Au-delà de l’intérêt mémoriel et documentaire, la photographie constitue la base de mon art. C’est une matière que j’imprime, découpe, affiche et rephotographie. Cette recherche formelle d’architecture visuelle et mentale, à plusieurs strates temporelles et spatiales, c’est la métaphotographie.

mon matériel:

• boîtier Sony Alpha 7 SII
• objectif Zeiss 55 mm f1.8

L’IA & moi

J’ai rencontré l’IA en 2022. J’ai tout de suite été séduit par l’étrange beauté des images générées. L’interaction textuelle permet de jouer avec les mots: j’écris et la machine répond par une image.

Je suis amateur de jeux de langages. Ceux de Bobby Lapointe, de l’Oulipo, des Papous dans la Tête, de Jacques Prévert et des Surréalistes en général.

Jouer avec les mots est une manière originale d’aborder l’art du promptage. L’IA gagne alors en liberté d’expression et semble jouer en retour. Elle répond à un double sens de langage par un double sens de lecture visuelle. C’est beau et amusant.

Les prompts que j’utilise sont pour moi comme des formules invocatoires. L’IA dessine, et les images apparaissent, la part de mystère est immense. Le processus est surprenant et enthousiasmant, une sorte de dialogue où ma sensibilité rencontre celle de la machine.

les IA que j’utilise:

• Dall·E d’Openai
• Firefly d’Adobe